Anecdote de banque

Je suis en processus de financement hypothécaire avec l'achat d'une nouvelle maison

La banque exige qu'un évaluateur passe sur la demeure afin de confirmer que la valeur du domicile est ok pour le prix payer. OR, dans mon cas, l'évaluation est ressortie 100k$ plus bas que mon prix payé!!! Ne pouvant vraiment y croire (ai-je payé 100k$ de trop ????) j'épluche l'évaluation reçue pour me rendre compte après quelques minutes que tous les comparables sont des terrains de plus ou moins 250 000 pieds carrés et que ma nouvelle maison a été évaluée pour 217 000 pieds carrée. 217 000pieds carrés = 5 acres. Il manque donc une vingtaine d'acres au domicile. Soupir de soulagement, la banque retourne a ses devoir afin d'avoir une évaluation adéquate de la valeur.

Morale de l'histoire: toujours double checker ce que les banques font!

Vois-tu, lorsque j'ai changé de prêteur hypothécaire, ils ont fait l'évaluation de la propriété en fonction d'un certain nombre de pi2 du terrain, mais c'était plafonné à un certain maximum de grandeur dans leur grille/charte pour que le terrain n'aille pas trop d'importance versus la valeur du bâtiment.

Bref, mon évaluation bancaire était plus conservatrice qu'une évaluation de réelle valeur marchande.

C'est peut-être plus commun qu'on le pense.

En fait, la conseillère disait qu'il y avait 2 manière d'évaluer pour l'hypothèque, maison avec terrain de 5 acres et moins, maison avec terrain de plus de 5 acres. Les 2 manières ont un impact sur le % de mise de fond... 20% minimum pour 5 acres et moins et 25% pour plus de 5 acres (sauf si on veut aller vers la SCHL, ce que je ne voulais pas). Si on choisi la méthode de 5 acres et moins, le client doit ''compenser'' la mise de fond manquante pour le coût supplémentaire dû au terrain. Si on choisi la méthode de 5 acres et plus, c'est 25% de mise de fond.

Dans mon cas, on s'était entendu pour prendre la méthode de 5 acres et plus, mais la banque (on ne sait pas ou dans la chaine de communication) a fait l'évaluation de 5 acres et moins... Bref faut toujours double checker.

Ok, bon à savoir!

Perso, on ne m'a jamais parlé de cette règle lors du financement / renouvellement hypothécaire avec l'autre institution (passé de Desjardins à CIBC).

De mémoire, la firme qui a fait l'évaluation pour la CIBC m'a dit qu'elle tenait compte de seulement 50 000 pi2 (terrain standard) sur mes 450 000 pi2 dans leurs calculs.

Ou tu pognes des banquiers/conseillers qui ne peuvent répondre à tes questions pointues de placement donc tu fais le yoyo avec les plus haut placés pour avoir tes infos... Fait vécu par mon chum qui veut optimiser ses placements (car je suis pas du tout la pro là-dedans ). Il y a eu une fois aussi après même pas 15 minutes de discussion avec le conseiller financier, il se fait offrir une job ... J'étais comme, well, on travaille clairement dans les mêmes milieux.

Nouvelle anecdote de banque...

Durant les vacances, nous avons ouvert un compte aux enfants. Sur place, j'avais mes deux plus vieux avec moi. Tout le long de la rencontre, mon 2e n'a pas arrêté de crier ''je veux être riche'' à la conseillère pendant que mon 1er montrait ses 40$ recu à noel!

Écrit de même c'est plate, mais sur place, c'était drôle à voir.

Ça dépend il a quel âge. À 5-6 c'est cute, à 19 c'est limite épeurant

Les banques engagent tout ceux qui ne se trouvent pas de job dans leur domaine... mais qui ont un diplome... c'est une machine bien huilée... ils sous paient ces gens là et leur font miroiter des promotions et des hausses de salaire que peu vont matérialiser, mais juste assez pour renforcer l'histoire et accrocher les petits nouveaux etc.
Le turnover est de plus de 30-35% par an... les meilleurs partent ou montent.. personne ne veut rester conseiller au particulier a faire des horaires de Q pour un salaire ridicule... donc forcément, le conseiller en face de toi, tu as de fortes chances que ce soit un nouveau, un ignorant, un toto...
Ce n'est plus tres glorieux d'etre "banquier".

En general, faire la moyenne  de 2 de 3 donne une idée generale de ce que pourrait etre une possible bonne reponse lorsqu'on fait affaire avec ces gens la.

L'autre probleme... ils ont des objectifs difficiles a atteindre et qui en general influencent les conseils donnés...et souvent, pas de recul face à ce que pourrait etre la meilleure approche ou le meilleur produit pour un client X car ils ne savent pas ce que la concurrence offre.

En gros, moi je les vois comme des representants de commerce. Ils sont formattés et former à pousser les produits de la banque... that's it.

Quand je travaillais dans une banque, on avait un "naperon" sous notre clavier d'ordi avec tous les arguments et contre arguments genre "je dois en parler à mon conjoint" / "je vais y penser" / "j'aimerais voir d'autres offres ailleurs" etc...c'était limite dégoûtant les ptites strategies de closing qu'ils nous obligeaient a faire car les appels etaient écoutés et scorés après coup... ton rendement dependait de l'adhérence aux techniques de vente et de ton taux de closing notamment... ce sont des vendeurs... pas des conseillers. Alors faut pas trop s etonner...

J'ai eu exactement le même écho de mon ami que tu connais qui travaille dans une institution financière.

Pour ma part, j'ai été un peu désillusionné par le manque de connaissances et de compétences du monde " haut placé " dans mon secteur d'activité, et plus particulièrement ceux qui ont un poste en lien avec le gouvernement ou des filiales de celui-ci.

En apparence, ça a l'air pas si pire, mais moindrement que tu creuses un peu tu te rends compte qu'ils sont juste des pions qui font leurs heures et ramassent leur chèque.