Les millionnaires ne sont pas ceux que vous croyez de Nicholas Bérubé

Mais je ne suis pas millionnaire.... snif snif... pas encore

Dans le film à l'ombre de Shawshank, Andy Dufresne disait clairement que personne ne remarque les souliers d'un homme. Et bien c'est faut! Avoir été Andy, je n'aurais jamais pu m'échapper et j'en ai eu la preuve cette semaine.

Je suis un fervent porteur de Croc, tellement confortable. Cette semaine, j'avais un rendez-vous d'affaire important et j'ai mis des souliers. Le monde au bureau s'en sont rendu compte immédiatement et me l'ont fait remarqué!!! J'ai vraiment été impressionné comment les gens remarques un si petit détail.

J’aime tellement ce film je l’ai écouté au moins 20 fois. Mais j’interprète cette quote différemment. Premièrement c’est Red qui dit la citation et pas Andy. Mais pourquoi Andy prend-il la peine de voler des souliers au risque se faire rater une évasion méticuleusement préparée ? Justement parce que lui croit que les souliers pourraient être remarqués, pas par des prisonniers et gardiens de prison, mais peut-être par un banquier où il s’en va retirer un shitload d’argent et fermer son compte. Ahhh Andy, Andy, Andy. Mon idole. Il a rampé dans un océan de merde et est ressorti libre et propre de l’autre côté.

@Mr Jack ça fait tellement longtemps je ne l’ai pas vu que je mélange des quote, va falloir je le fasse prochainement. Reste néanmoins que c’est à ça j’ai pensé cette semaine.

C'est quand même Morgan Freeman aussi.

PS:  Je porte des crocs à la maison.  C'est plus confortable et moins froid pour les pieds pis je peux chauffer un peu moins le dessous de la maison en hiver (jusqu'à temps que ma blonde se plaigne).

Hmmm.

Drôle de coïncidence avec l'utilisateur enregistré le plus récent du forum des derniers jours!

Soit dit en passant, j'ai fini de lire le livre du sujet. Ça tire un peu de tous les bords et on passe souvent du coq à l'âne ou d'une personne à une autre.

Je pense que l'objectif de mettre en lumière que les gens qui ont de l'argent sont plus souvent qu'autrement du monde qui mènent une vie ordinaire, qui contrôlent bien leurs dépenses, investissent la différence et laissent le temps faire son oeuvre.

Il y a effectivement une grosse différence entre être millionnaire sur papier et avoir envie de dépenser 1 million. Lol

Ben du monde riche ont l'air pauvre et ben des pauvres se prennent pour des riches, mais justement, ils ont juste l'air...

En fait, le gros avantage de lire ce livre, c'est qu'il m'a fait découvrir celui de Stephen Jarilowsky.

Effectivement, je suis nouvellement président d’un OSBL et on fait payer des amendes (c’est moi qui décide des montants) aux membres pour payer les frais d’administration du club. Disons que voir quelqu’un se promener en Audi Q7 et avoir la frousse de recevoir 2$ d’amende me fait soupirer…


Dans la jungle des placements le livre Max? Intéressant?

Oui, je suis dans les débuts du livre, mais j'aime beaucoup. Le monsieur a de l'aplomb et de la sagesse.

Nouveau livre de Nicolas Berube sur la bourse: de zéro à millionnaire: investir en bourse sans souffrir.

Je crois que le livre démontre la méthode des fonds indiciels, j’ai adoré les millionnaires ne sont pas ceux que vous croyez, j’espère être aussi conquis par celui-ci.

Ça sort dans les mêmes temps que la facture amoureuse de McSween.

Si quelqu'un a lu l'un de ces deux livres, je serais curieux d'avoir votre avis.

Je suis à environ 60 % de Zéro à Millionnaire. Bien que j'ai lu quelques livres tel ''Common sense Investing'' de John Boogle qui parlent des fonds indiciels, pour le moment, j'apprécie bien la lecture.

En gros, l'auteur nous dit qu'il ne sert à rien d'essayer de battre le marché pour la plupart des investisseurs, car même les pros ne le font pas et y va de quelques anecdotes personnelles, de son parcours, de ses échecs en bourse, etc ainsi que sur l'histoire des fonds indiciels.

Le livre s'adresse à un large public: le livre est écrit en toute simplicité, donc aucun élément trop technique et l'auteur doit expliquer quelques notions de base par moment, sans trop aller en profondeur (actions vs obligations par exemple). Toutefois, le livre se lit agréablement bien et j'aime bien les anecdotes de l'entourage de l'auteur qui nous rappelle trop bien que beaucoup de monde essaient des raccourcis vers la richesse. Un livre qui ne révolutionnera pas l'univers de la finance, mais je pense que c'est une première pour ce genre de livres au Québec (sur les fonds indiciels).

Ouep... en gros comme a souvent dit @mrjack, en moyenne on ne fait mieux que la moyenne... alors aussi bien viser la moyenne... fonds indiciels.

Perso j'ai suivi pas mal le sp500 de 2013 a 2018... puis ça a dérappé.... sp500 a fait 17% entre 1 jan 2013 et 31 dec 2021, moi 12-13%... je perds du $$ en frais de taux de change sur mes achats et mes dividendes notamment, ce qui peut expliquer partiellement l'écart... et je n'avais pas de GAFAM.

Évidemment c'est un peu démagogique tout ça... car je n'achete pas un montant fixe le 1er janvier de chaque année.. tout au long de l'annee je fais de multiples transactions.. si j'avais fait la meme chose en achetant du indiciel, j'aurais obtenu fort probablement un resultat tres different du 17% composé qu'on calcule en prenant la valeur du sp500 au 1er janvier 2013 et au 31 dec 2021...

Il me faudrait refaire le calcul de rendement en remplacant tous mes achats d'actions depuis 2013 par des achats de meme montant aux memes dates d'un fonds indiciel... pour bien voir quel aurait ete l'impact de mes timings.

Il y a quand meme bcp de bonnes raisons d'acheter des parts de fonds indiciels... et tous ceux qui me demandent des conseils sur l'investissement boursier, je leur reponds la meme chose que mr buffet...10% bons du tresor, 90% sp500... pour du tres long terme... tu devrais avoir 7% composé...

Vrai, j'ai commencé à investir par moi-même durant la crise 2020. Le SP500 a fait 47 %, le TSX 45 % de rendement annuel depuis ce temps. Pourtant, j'ai ''seulement'' 26 % de rendement dans mon REER et 37.5 % dans mon CELI, c'est impossible de comparer vu les dépôts à des moments différents. Mais puisque je suis 100 % en indiciel, mon rendement donne une bonne image du rendement du marché si on compare avec ma répartition.

Dans mon cas, je ne vise pas nécessairement 7 % composé, mais plutôt inflation +- 3-4 %. Si l'inflation monte à 5-6 % et je fais du 7 %, mon gain de valeur est presque nul. On était bien avant la crise avec de l'inflation à 2-3 % et du rendement de plus de 8-9 %.

De zéro à millionnaire:

J'ai lu le livre et je ne l'ai pas vraiment aimé.

Je n'ai pas appris grand chose.  On saute beaucoup du coq à l'âne.  Les sujets s'entrecoupent et se mélangent avec ses encadrés dans le texte, alors on perd plus facilement le fil.  On mentionne souvent de vieilles informations déjà largement connues.  

C'est comme si l'auteur avait fait un genre de travail journalistique de piger à gauche et à droite pour récupérer des brides, mais sans jamais lui-même avoir sa propre approche critique et un schéma de pensée bien à lui.  Je veux dire...  Je sens qu'il vole les autres pour se faire un livre.

C'est plus un livre pour les débutants à mon avis.  Il pourrait faire une seule page avec la statistique que 92% des pros ne battent pas l'indice et il aurait démontré son point.

Outre ça, un gars comme Bernard Mooney a une meilleure plume et est plus intéressant à lire.  Idem pour Jean-Sébastien Pilotte (Jeune Retraité).

Je n'avais pas accroché au 1er livre et ni à celui-ci.

J'ai lu les deux. J'aime le style de Pilotte il est comique mais on s'entend, on est pas le public cible.

Et Nicolas Bérubé je l'ai fini mais c'est pas un livre particulièrement extraordinaire en effet.

Anyway, avec l'inflation, qui est pas millionnaire aujourd'hui?

Le pire c'est que la bourse avait sans doute augmenté bcp en anticipation de l'inflation des prochaines années, et donc ça veut pas dire qu'elle va continuer à suivre l'inflation au cours des prochaines, récession ou pas

Cool vos poules. Des poules noires est-ce que ça fait des oeufs plus foncés ou ça pas rapport?

Maxime a écrit:De zéro à millionnaire:

J'ai lu le livre et je ne l'ai pas vraiment aimé.

Je n'ai pas appris grand chose.  On saute beaucoup du coq à l'âne.  Les sujets s'entrecoupent et se mélangent avec ses encadrés dans le texte, alors on perd plus facilement le fil.  On mentionne souvent de vieilles informations déjà largement connues.  

C'est comme si l'auteur avait fait un genre de travail journalistique de piger à gauche et à droite pour récupérer des brides, mais sans jamais lui-même avoir sa propre approche critique et un schéma de pensée bien à lui.  Je veux dire...  Je sens qu'il vole les autres pour se faire un livre.

C'est plus un livre pour les débutants à mon avis.  Il pourrait faire une seule page avec la statistique que 92% des pros ne battent pas l'indice et il aurait démontré son point.

Outre ça, un gars comme Bernard Mooney a une meilleure plume et est plus intéressant à lire.  Idem pour Jean-Sébastien Pilotte (Jeune Retraité).

Je n'avais pas accroché au 1er livre et ni à celui-ci.

C'est effectivement plus pour des débutants, c'est une lecture assez légère. C'est sur que ce n'est pas The intelligent investor de Benjamin Graham. Bernard Mooney, c'est de la lecture pour intermédiaire, mais en même temps, on parle de 2 approches différentes, soit l'achat d'actions individuelles. Mais je pense qu'il ne cible pas le même public.

Je suis en train de lire la Facture Amoureuse de PY Mcsween, celui-là devient un peu plus technique surtout lorsqu'il parle de séparation et de mariage, je pense qu'il te plairait plus. Ma blonde veut se marier, alors tu peux être sûr que je regarde ce chapitre avec grande attention !

Je ne comprends pas trop cette fixation sur le mariage... pourquoi faut il un contrat financier pour sceller notre amour?
S'aimer c'est deja beau en soi... pourquoi aller gâcher ça avec une prison de papiers légaux?

Parce qu'un coup que la m*rde est pognée, bonne chance pour trouver un arrangement si tu n'as pas de papiers.

En signant un contrat de mariage ou de vie commune, tout le monde se protège et prend entente sur un accord commun satisfaisant dès le départ.

Ceci étant dit, notre conjointe est probablement la dernière personne avec qui il faut trop s'impliquer financièrement (ou en affaire) compte-tenu de la dimension émotive et de la promiscuité.  La relation d'affaire devient tributaire du succès de la relation amoureuse...  Pas évident.

Je ne comprends pas non plus la fixation de vouloir se marier, je pense que le monde veuillent vraiment souligner en grand leur union, mais c'est clairement plus un truc d'extravertis. Non seulement cela dure juste une journée, mais il faut se casser la tête pendant un an juste pour le préparer et je ne parle même pas du montant astronomique que la soirée va coûter.. C'est sûrement moi qui aime pas assez faire le party !

Max, j'ai 0 hâte au moment, si je dois me marier, de parler de toute la séparation des biens, surtout qu'il y a un grand débalancement entre mes actifs et ceux de ma conjointe et je veux quand même me protéger si malheur il nous arrivait. Mais en même temps, s'il y a séparation, il faut quand même que les choses soit équitable (si on des 2 conjoints a arrêté de travailler pour s'occuper des enfants par exemple ou si un s'enrichit au dépend de l'autre). Mais émotion et finances ne font pas la paire et ce n'est pas toujours évident d'en discuter.

La facture amoureuse je voulais le lire, mais je suis encore loin dans les réservations sur Banq! Mon tour vient dans 5 mois!

Pour le mariage, bah, faut être deux pour danser le tango comme on dit. Ce n'est pas une " obligation " et il n'y a pas de pression sociale comme dans le temps.

Je ne crois pas que ça devrait être une source de conflit majeure comme peuvent l'être la gestion de l'argent dans le ménage, le sexe ou les enfants.