Des idées de titres à posséder en cas de crise de virus prolongé?

Les revenus ou les ventes, c'est pas important, ce qui compte ce sont les profits

hey laisse moi faire dire ce que je veux aux chiffres lol
les profits cest tellement 1980! aujourdhui les cies qui valent le plus cher sont celles qui gaspillent des multimilliards chaque trimestre

hehe, en fait c'est l'article que je trouve un peu tendancieux... reste qu'en termes de profits, ces 10 compagnies font 22% des profits du SP500, pour environ 33% du poids de l'indice... c'est déjà pas si mal. Sauf qu'en plus, leur croissance des profits potentielle est plus élevé (je suis pas mal sûr que Amazon va faire croître ses profits (le prix du titre, par contre, c'est moins sûr) plus rapidement que Walmart dans les 10 prochaines années).

t'as trouvé ça où cette stats la? je la cherchais 22% des profits c'est quand meme incroyable avec une croissance moyenne des eps plus qu'interessante donc il y a une prime... donc en gros elles sont "bien évaluées" lol

https://www.investors.com/etfs-and-funds/sectors/sp500-10-companies-will-grab-fifth-profit-year/

C'est pré-covid, mais c'est possiblement encore plus aujourd'hui en fait.

merci

Bonjour, que pensez-vous d'air transat en ce moment?  @ 3.89$ est-ce une aubaine? ça m'étonnerait beaucoup que François Legault laisse foncer son bébé sur un mur...

Ça me semble être un pari audacieux si on peut dire.

toucherait pas a ca avec un baton
mais si les options long terme sont pas trop dispendieuses... achete une option? si ca se materialise, tu feras un beau profit et si ca plante solide... tu vas perdre moins d argent

pangolin a écrit:Bonjour, que pensez-vous d'air transat en ce moment?  @ 3.89$ est-ce une aubaine? ça m'étonnerait beaucoup que François Legault laisse foncer son bébé sur un mur...

C'est embêtant, pour justement ne pas laisser une apparence de conflit d'intérêts, il pourrait passer son tour sur une aide...

Des idées de titres à posséder quand le président est infecté d'un virus qu'il minimise?

D'une part, s'il s'en sort sans trop de symptômes, ça lui donnera raison: il est âgé, ça prouvera sa bonne santé, etc. Statistiquement c'est un scénario probable: seuls 5% des gens de son groupe d'âge sont fortement atteints, et on s'entend, les présidents qui ont plus de 70 ans, c'est sûr qu'ils ont une constitution hors norme pour exercer ce métier.

Mais si au contraire s'il est malade ou si la maison-blanche est beaucoup touchée, que des aides, employés de l'administration sont hospitalisés, les développements seront pour le moins intéressants...

Côté boursier, on fait quoi avec ça? (ok: on continue comme d'hab est une réponse possible, mais ennuyante )

La stratégie brésilienne. Deux jours de baisse et ensuite ça monte en fou quand il prouve qu'il avait raison depuis le début et que c'est juste une petite grippe et hop, deuxième mandat. Je vois ça comme une stratégie électorale. Il a dû forcer le médecin de la maison blanche à lui faire un faux diagnostic. Dans ce contexte je miserais sur les croisiéristes, les banques et les compagnies aériennes.

Ou peut être qu'il voulait juste se sauver du prochain débat? Tricher c'est pas quelque chose qui lui dérange vraiment.

Ah tiens, j'avais pas pensé à ça, pas con. À mon tour d'être conspirationniste, tiens je vais aller raconter ça sur les réseaux sociaux aux alt-right

ahaha

j'avoue que le timing est bon en sale....

Toujours intéressant d'aller voir ce que les parieurs en pensent, car ils mettent leur argent sur la table et c'est souvent de meilleures prédictions que les analystes ou les sondages.



Eux semblent donc penser que c'est réel et qu'il y a un risque additionnel que Trump ne soit pas président (à la faveur de Pence et de Biden).

@Pangolin:  Air Transat a plus de chance de se casser les dents qu'Air Canada si tu veux jouer dans cette talle-là.

Pour ma part, je vise plus à acquérir des titres qui vont profiter du confinement pour sortir plus fort de tout ça.

@Mr Jack, un gars un peu louche et mêlé qui renifle les cheveux des femmes et fillettes, un homme d'affaire narcissique, menteur et manipulateur pis un ultra religieux un peu zêlé...  Comment on en arrive là?

Soit dit en passant, le premier débat n'était pas écoutable et je ne pense pas que ça a fait changé d'avis grand monde...  Biden a juste modéré les attentes sur des trucs comme " defund the police ", entre autre.

Que ce soit Trump ou Biden, il n'y aura pas grands changements économiques à mon avis, car les démocrates ont choisis un candidat plus modéré et l'aile gauche militante du parti est encore mise au rancart pour le moment.

la politique... zzzZZZ
Obama amenait un vent de fraîcheur.... au moins.

On s'est rendu là parce qu'au fond, qui a vraiment envie d'aller se mettre a l'avant plan pour promettre de s'occuper de regler tous les problemes du monde en 4 ans en sachant tres bien qu'en plus d'etre ridicule, c'est impossible. Si tu fais A, les B sont en criss, les C sont circonspects, les D s'en calissent. Si tu fais B, on inverse etc...

Les humains n'arrivent meme pas a s'entendre sur le fait que la terre est une sphere... alors la faim dans le monde, la pauvrete, l ecart en riches et pauvres, le rechauffement climatique, le racisme systemique ouff...

Je voterais bien pour Hubert Reeves, mais il ne se présente jamais....

j'aime bien harry browne (how i found freedom in an unfree world) voici un extrait de son livre dans lequel il parle de liberte et des pieges qui nous la siphonne :
11
The
Burning-Issue Trap
THE BURNING-ISSUE TRAP is the belief that there are compelling social
issues that require your participation.
There are always numerous issues before the public—competing for your
attention, your concern, your time, and energy. When you view an issue by itself, it
can seem very compelling; you can feel that it can't be ignored and that you must do something about it. If you become aware of something evil and dangerous, it can
seem that you're compelled to work socially to correct it and eliminate the evil.
But if you stand back and look at the whole spectrum of social issues that clamor
for your attention, you get a different perspective. Let's identify some of the many
issues that writers, politicians, and crusaders have told us are do-or-die, must-be-
taken-care-of-right-now matters.
During recent years they've included such things as pollution, civil rights,
overpopulation, drugs, conservation, communism, consumerism, women's
liberation, poverty, organized crime, law and order, disappearance of animal
species, the sexual revolution, government solvency, pornography, educational
problems, mental illness, privacy, high taxes, the Vietnam war, campus riots, the
military-industrial complex, police brutality, and disarmament. Plus perhaps a dozen
more I've overlooked, plus a few more that have become issues since I wrote this.
All these issues are presented as matters commanding your attention and
participation. But how could you possibly become involved in all of them? And if you
could, what would become of your freedom? How can you be free when you're
burdened with a responsibility to right the world's wrongs?
You can enslave yourself by assuming a responsibility to observe, judge, and
correct any social problems. For the problems will continue indefinitely. They'll never
be resolved to everyone's satisfaction. The demands upon your time, energy, and
money can never cease.
Look back over the past twenty-five years. Can you think of a single social issue
of the magnitude and popularity of those just listed that has been successfully
resolved? Has any desperate social need been satisfied? And has the world stopped
because of the failures?
At the outset of most campaigns, the organizers assume that a given effort will
solve the problem once and for all; just educate enough people, get enough
petitions signed, pass a certain law, and the issue will be resolved and we can go
back to our private lives.
But once people are educated, they have to be re-educated: new ideas from
other sources may turn those you've educated away from the direction in which
you'd thought you'd steered them. And once laws are passed, they can be amended
or repealed, so the passing of a law doesn't end anything.
Campaigns for social change are excellent examples of the indirect alternative—
working through others to get what you want. Your success depends on the
responses of literally thousands of people. Your control over the situation is minute.
And if the issue is important, you're enlisting for life. If you do achieve any
short-term goal, you'll have to safeguard your victory for the rest of your life.
The existence of evil isn't a claim upon you. "Evil" will always exist in the world.
To accept as a principle that you must fight something because it's evil is to believe
you must fight anything that's evil. There's no end to the number of evils that could
command your attention. Is that all your life is for—to spend it fighting evil?

Somehow the world goes on—evils, issues, and all. During this century people
have coped with world wars, depressions, prejudice, organized crime, and most of
the other issues mentioned before. None of them has been resolved; they keep
coming back.
But through them all, free men in any country have found ways of living their
lives freely and happily without feeling a responsibility to be involved. Their lack of
participation hasn't changed the outcome of any social issue, but it has enabled
them to be free.

Pour les amateurs de statistiques boursières:

https://www.lesaffaires.com/blogues/philippe-leblanc/quels-ont-ete-les-rendements-boursiers-au-20e-siecle/620170

interessant. je ne sais pas si on pourra en dire autant de 2000 a 2100

Le texte FCLR que tu as cité fait bcp penser au stoicisme. Par contre ce courant a son lot de critiques car il peut mener à la passivité.

Aussi, laisser entendre qu'être anti-guerre du Vietnam, par exemple, n'a pas empêché d'autres guerres, c'est une logique un peu fallacieuse. S'il n'y avait pas eu de mouvement pacifistes, on ne sait pas à quoi ressemblerait le monde.

Un peu comme la lutte contre le crime organisé: on pourrait dire que la lutte ne sert à rien, puisque le crime organisé continue d'exister. Mais s'il n'y avait pas de lutte contre le crime organisé, on serait peut-être comme le Nord du Mexique où des territoires entiers sont sous leur contrôle.

je sais
C'est une approche, ça ne veut pas dire que c'est l'approche a suivre.
Mais il est clair que l'humain crée aussi ses propres problemes sociaux et qu'il en créera tjrs. Certains sont systémiques et seront tres difficiles à résoudre...
Browne explique que si tu veux etre libre, il faut que tu choisisses librement ta ou tes causes ou aussi de ne pas t'en mêler. Avant ce chapitre il y en a bcp d autres.... qui dénoncent des tas d idees fallacieuses imposées comme des vérités et qui créent des obligations mentales d'agir. Le but de Browne est surtout de nous en rendre conscient.

Il faut remettre en question , se battre pour les nobles causes. Je ne dis pas le contraire. Sinon la societe stagne et on accepte le status quo et les consequences qui viennent avec.

Mais il faut s'assurer qu'on le fait pour les bonnes raisons.

Je ne crois pas trop en la justice sociale. Au final, ceux qui gagnent ne veulent pas que ça change et ceux qui perdent deviennent de fervents défenseurs d une cause ou acceptent leur sort... il y aura tjrs des gagnants et perdants. L'équité totale est une utopie. Et donc il y aura tjrs de causes...

Browne apporte clairement une approche égoïste de la liberté. Je tire mon épingle du jeu a moi et je laisse les autres faire de même. À eux de trouver leur voie.... Évidemment on peut ne pas être d'accord.

Personnellement, en vieillissant je deviens de plus en plus égoïste, moi, ma famille, mes amis, mon clan. Ma femme voit ça comme un défaut... Moi jvois ça comme mettre ses limites et tirer mon épingle du jeu.

avez vous des regrets face a vos achats faits lors du crash?
- pour l'instant, les cies de petroles et les banques que j'ai acheté demeurent tjrs impactees par la crise
- bcp de titres techno ont fait des jumps juste incroyables... ca rique je suppose de dropper solide tantot mais je suis un peu triste de ne pas avoir eu ces stocks dans mon portefeuille
- j'ai plusieurs achats avec 25 à 40% de rendement depuis l'achat
Mon plus gros regret est de ne pas avoir acheté davantage... mais la reprise en V semblait utopique et a mon sens, elle le semble tjrs.
Les fondamentaux ne sont pas terribles across the board.

J’ai surtout acheté des titres à dividende et en gros ça a presque rien fait. J’ai vendu beaucoup de trucs que j’aurais mieux fait de garder. Ceci dit comme j’ai gardé Apple et Google et que ces deux titres font 10% de mon portefeuille total, mon rendement est en somme pas trop pire, même si j’ai limite mes gains en vendant stupidement des covered calls sur Apple.